La Coopérative Altopiano di Navelli, constituée d’environ 98 membres, est la plus grande productrice italienne de safran avec un volume de production de 95%. L'entreprise agricole s’est donné comme objectif de protéger un produit unique et exclusif et détient pour sa production de Safran, l’appellation DOP (dénomination d’origine protégée), ainsi qu’un premier prix mondial en 1989 et le prix Atomo d’Oro en 1991.
Le safran est une épice extraite de la fleur d'un crocus, le Crocus sativus L. (Iridacée). On l'obtient par déshydratation de ses trois stigmates rouges (extrémités distales des carpelles de la plante), dont la longueur varie généralement entre 2,5 à 3,2cm. Le safran, poétiquement appelé "Or Rouge", est l'épice la plus chère au monde. Il est originaire du Moyen-Orient. Il a été cultivé pour la première fois dans les provinces grecques, il y a plus de 35 siècles. (wikipedia)
Plante originaire du Moyen Orient, la culture du safran s'est répandue en Europe et ensuite en Italie vers l’an 1300 grâce à un moine dominicain originaire de Navelli. Sa culture s’est rapidement répandue dans les Abruzzes ainsi que dans d’autres nombreuses zones de la péninsule. Cependant, au cours des siècles qui suivirent et pour diverses raisons, la culture vient petit à petit à déchoir jusqu’à la retrouver dans la seule région aquiline des Abruzzes, en particulier dans la Piana di Navelli, seule et unique zone où elle pousse aujourd’hui encore en pleine santé.
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Pierre et Julie se sont rencontrés au Mexique en 2003 alors qu’ils parcouraient le monde. Ce long périple les mènera jusqu’à leur vignoble de Vic-Mireval, au pied duquel en 1854, Gustave Courbet peignit… “La Rencontre”
Ce chef d’œuvre est en effet à l’origine du nom du « Domaine de la Rencontre ». Le vignoble est effectivement situé sur la “route Courbet”, mise en place par le musée Fabre de Montpellier et la région. À l’entrée du domaine, une stèle retrace le périple du maître dans la région et offre à la vue des promeneurs une reproduction de son chef d’oeuvre “La Rencontre”.
Le Domaine compte 12 hectares d’un terroir très qualitatif, des sols d’origine jurassique avec de nombreux éclats calcaires. Le vignoble est entouré de garrigue, sur le versant sud du massif de la Gardiole. Sa situation est exceptionnelle, niché entre Sète et Montpellier, bordant la Méditerranée.
Les vendanges y sont effectuées 100% manuellement, avec des rendements faibles (25hl/ha). 185kg de raisin sont utilisés pour produire 100 litres de vin. C’est quasiment du jus de goutte ! Les fermentations se font dans des cuves en inox, équipées de ceintures de refroidissement. Elles sont très lentes, à basses températures. C’est ainsi que les arômes naturels du muscat peuvent pleinement s’exprimer.
Christiane et Pascal Dalier sont les propriétaires du Domaine de Joncas, situé à Montpeyroux, du côté de Saint-Guilhem-le-Désert dans l’Hérault. Après une carrière intense dans le commerce, la passion pour les vins les amène à changer de vie pour s’investir dans un projet plus en harmonie avec leur environnement; leurs vignes sont situées dans un site exceptionnel répondant à leurs attentes d’un terroir agrémenté de conditions climatiques excellentes, spécifiques aux contreforts du Larzac. C’est là, au pied du mont Saint-Baudille qu’est situé un petit canyon, du nom de “Joncas”, à l’origine du nom du domaine, qui borde leur plus grande parcelle, un endroit et un terroir magnifique.
Le domaine de 5 ha est volontairement restreint pour être travaillé par une seule personne, privilégiant la qualité à la quantité. Le Domaine de Joncas est maintenant certifié en Biodynamie.
Depuis son enfance, Philippe Modat a côtoyé les vignes et les vendages en Roussillon. Pendant ses études à l’École Nationale de la Magistrature, ce passionné de vin découvre le vin comme un accélérateur du goût des autres, de la vie. La création d’un groupe oenologique pour goûter les grands vins du Sud de la France, les rencontres avec les vignerons pour déguster, choisir, boire, fixer l’instant de l’échange. Et découvrir en France, à l’étranger, dans les caves, les foires, avec les amis, l’échange autour du vin. Enfin, au fil des années, un goût qui s’affine, celui d’un vin qui donne envie d’y revenir. Comme un rêve qu’on ne veut pas voir s’achever. L’étape suivante ce sont des parents qui reviennent au pays, en Roussillon. Un père qui reprend des vignes familiales, les vendanges, l’amitié… Tout est prêt. Le Domaine Modat s’impose de lui-même.
Les vignes sont situées sur la Commune de Cassagnes, dans la vallée de l’Agly, près de Perpignan, sur un plateau entre 200 et 300 mètres d’altitude. Le terroir est composé essentiellement de Gneiss, un sable granitique. Ce terroir est propice à la production de vins fins et élégants. Le sol drainant permet aux vins rouges de bénéficier de tanins fins et soyeux, d’une structure légère et d’une grande fraicheur pour des vins du sud.
C’est au nord de Pézenas, à Roujan, dans la plaine de l’Hérault que Pierre-Yves Rouillé et Caroline Vioche, de retour d’un long séjour au Chili, reprennent l’exploitation viticole familiale de 10 ha. Pour garder une trace de leur passage au Chili, le nom du domaine devient Picaro’s, « espiègle » en espagnol, mais aussi les premières syllabes de leurs prénoms.
Le terroir du Roujanais est traversé en contre bas par la Peyne. Les vignes sont enracinées sur les coteaux, sur un sol issu du Pliocène, du type limoneux et argileux pour la parcelle de Grenache et argileux et graveleux pour celle de Syrah. Ce terroir confère beaucoup de fraîcheur aux vins.
Pierre-Yves et Caroline pratiquent la conduite raisonnée du vignoble basée sur l’observation du développement de la végétation, des maladies et des insectes pouvant nuire à la qualité du raisin.
Ils se sont engagés à développer la Biodiversité sur le pourtour de leurs parcelles en plantant des arbres et arbustes, créant ainsi de nouveaux habitats à la faune et la flore autochtones.
Le vignoble est entièrement conduit en double cordon de Royat. La parcelle de Syrah, 75 ares, a été plantée en 1985 et celle de Grenache, 30 ares, en 2002.
La Valentina naît en 1990, dans la commune de Spoltore, sur les collines près de Pescara. A partir de 1994 les frères Di Properzio, Sabatino, Roberto et Andrea deviennent seuls propriétaires de la société. La passion pour la recherche de la qualité et l'envie de valoriser les D.O.C. des Abruzzes deviennent rapidement l'objectif principal de La Valentina. Selon l'idée que « le fondement de la D.O.C. c’est l’empreinte de la vigne sur son propre raisin", dans le respect absolu de l'équilibre biologique, saison après saison, La Valentina applique une philosophie faisant abstraction de l'usage effréné de la chimie et de la technologie. Dans les vignes, l'usage de produits chimiques et artificiels est proscrit, en cave, aucun type de manipulation technologique n'est toléré, le tout dans le respect de l’environnement et de l'harmonie de l'écosystème, en garantissant un haut niveau de biodiversité et en protégeant les ressources naturelles. Les vins sont ainsi le fruit de la nature à travers la spécificité d’un terroir, que les frères Di Properzio, s’attachent à respecter également en bouteille. C’est cela le secret de leur originalité. Le microclimat, des cépages bien adaptés au terrain, restituent des vins aux caractères marqués et uniques. Vins qui parlent de lieux et de cultures, qui naissent de la somme de beaucoup de petites particularités et de la passion. Vins authentiques.
La Cave fut fondée en 1938 à Bessan, village dans l’Hérault, qui semble être à l’origine de la création du vin rosé.
En 1938, les vignerons se sont naturellement orientés vers la vinification de vins rosés.
Situé dans le prolongement du volcan éteint du Mont Ramus, c’est un sol pierreux et volcanique associé aux Cinsault, Grenache et Syrah qui confère la fameuse délicatesse au vin Rosé de Bessan.
Aujourd’hui, la cave regroupe 115 vignerons, elle continue cette activité, mais s’est aussi diversifiée avec l’élaboration de vins de cépage.
Les vins élaborés sont des vins de Pays de Bessan, issus d’assemblage de cépages locaux, et des vins de pays d’Oc, vinifiées en mono-cépages ou en assemblages.
L’exploitation opère dans le secteur de la production d'huile d’olives extra-vierge, avec un système d’extraction traditionnel, depuis le début des années 60. Elle se situe zone DOP (appellation d’origine protégée) d’Aprutino-Pescarese. Au cours des années, tout en maintenant le cycle productif classique, des modernisations visant à améliorer la qualité du produit ont été réalisées que ce soient au niveau des outillages, des systèmes de travail, de l’approvisionnement et du stockage des matières premières et produits finis. La production est réalisée avec des olives de provenance exclusivement locale de variété Dritta de Penne/Loreto Aprutino à raison de 60%, et diverses variétés de Leccino pour le 40% restant.
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Les anciens "Grands Pastiers" soutenaient que les ingrédients pour produire une bonne pâte étaient quatre : le blé de montagne, l'eau de source, l'air pur pour le séchage et le processus de fabrication.
Les excellentes caractéristiques organoleptiques de l'eau du fleuve Verde, exclusivement alimenté par des sources naturelles, et le climat particulier, sec et ventilé, permettant un séchage parfait de la pâte, sont les deux ingrédients dont la nature a fait don au village de Fara San Martino aux Abruzzes et qui rendent unique la pâte qui y est produite.
Giuseppe Cocco, en 1944, entrepris le métier de son père, maître pastier depuis 1916. Ensemble, ils réparèrent et remirent en fonction les machines utilisées par les pastiers de cette époque. Avec le même type de machines, avec ses souvenirs, avec ses secrets, le Chevalier Giuseppe Cocco produit, encore aujourd'hui, à Fara San Martino, les pâtes de ces temps lointains, toujours aussi bonnes.
C’est son irremplaçable expérience qui accompagne toutes les phases de l’élaboration des pâtes, afin que toutes les qualités protéiques et nutritives de la pâte, ainsi que son goût, restent intactes.
Continuer à utiliser des méthodes artisanales et anciennes signifie employer plus de temps et davantage d’espace, et aussi produire de plus petites quantités de pâtes. Mais cela signifie avant tout, préserver la saveur et le goût de la pâte d'autre fois. Et c’est justement cela l’objectif du Chevalier Giuseppe Cocco.
Les Abruzzes sont la région où la tradition pastière est peut-être restée plus intacte et où, à côté d'usines industrielles ou semi-artisanales, il est possible de trouver la vraie entreprise artisanale authentique avec des racines anciennes, dépositaire exclusive d'un vrai capital de connaissances et de procédés, qui a fait de la qualité absolue le propre objectif primaire: la production de pâtes comme fait culturel.
C’est le cas de la famille Masciarelli qui se dédie depuis 1867 à la production de pâtes alimentaires, et qui au cours de ces longues années et jusqu’à nos jours, n'a jamais abandonné les anciennes techniques de production liées à une tradition restée inchangée dans le temps. Selon Orazio Masciarelli, sa famille considère leur activité non pas comme un travail mais comme un art. Et comme artistes, par leur œuvre, la pâte, ils veulent transmettre éternellement les antiques parfums et saveurs spéciales qui depuis toujours caractérisent les Abruzzes.
Celle de Verrigni est une histoire de passion, d’artisanat, de tradition, mais aussi d'innovation. Le parcours d'une famille capable de transmettre depuis 1898, de génération en génération, l'amour pour la propre terre, avec pour vocation, une qualité irréprochable, sans compromis. Aujourd'hui Verrigni, avec les parfums et les goûts élégants, propres aux Abruzzes, est synonyme d'excellence dans toute l’Italie et non seulement. De Rosburgo, l'ancien nom de Roseto degli Abruzzi, Verrigni a conquis de nouveaux marchés en Italie comme à l'international, apprécié par les gourmets du monde entier, voire par les Chefs étoilés. Depuis 2008, animés par la même passion de ses fondateurs, le petit-fils Gaetano et sa femme Francesca Petrei Castelli dirigent l’entreprise – maintenant Antico Pastificio Rosetano – en veillant à un équilibre parfait entre tradition et 838BInnovation. Avec comme unique et primordial objectif, la qualité la plus élevée, obtenue par la sélection des meilleurs blés durs, exclusivement italiens, de haute qualité et d’une traçabilité sans failles.
Les premières traces du Podere Castorani remontent à 1793; le domaine est la propriété de Raffaele Castorani, illustre doyen à la Sorbonne, inventeur de la 1ère technique d’intervention sur la cataracte. Au fil des années, le domaine changea de propriétaires, pour être finalement abandonné au cours des années 60. L’amour pour la campagne et la passion transmise par son grand-père Gaetano, producteur de vin, ont amené Jarno Trulli à acheter le domaine en 1999 et à plonger ainsi dans l’œnologie. Petit à petit, il l’a transformé en une exploitation agricole jeune et moderne, soutenu par son père Enzo, son ami d’enfance et manager Lucio Cavuto, l’œnologue Angelo Molisani, et par Bruno Cavuto à la gestion des vignobles. L’exploitation située dans les collines d'Alanno, dans la province de Pescara, repose sur 30 h de terres plantées de vignobles, majoritairement du Montepulciano et Trebbiano d'Abruzzo, du Malvasia et un petit espace réservé aux variétés expérimentales. La moyenne d'âge des vignes est de plus de 25 ans, ce qui leur confère un intérêt tout particulier d’un point de vue œnologique. La terre est intégralement cultivée de manière biologique, sans utilisation de pesticides ou de fertilisants chimiques; seuls sont utilisés des fertilisants biologiques et organiques.